« Le lundi 24 décembre 2018, Monsieur AHOUNAN Koidiané Noël, Chargé d’Affaires a.i. de l’Ambassade de Côte d’Ivoire en Allemagne, a procédé à l’installation officielle du Docteur Dita SCHAUTOVA, Consule honoraire de la République de Côte d’Ivoire à Prague en République tchèque.

Cette installation qui intervient une année après l’acte nommant l’intéressée traduit la volonté de l’Ambassade de promouvoir et d’intensifier les échanges sociaux, économiques et culturels avec le Pays d’accueil.

Ainsi, le Chargé d’Affaires a.i. de l’Ambassade a, au cours de cette cérémonie, remis officiellement la Commission consulaire et l’Exéquatur ainsi que les symboles de l’Etat de Côte d’Ivoire au Consul honoraire.

Monsieur AHOUNAN a saisi cette occasion pour réaffirmer la confiance des Autorités ivoiriennes en la personne de Madame SCHAUTOVA et lui a adressé ses chaleureuses félicitations, tout en formant à son endroit des vœux de bonheur et de plein succès dans l’exercice de ses fonctions.

Au titre des conseils d’usage, le Chargé d’affaires lui a demandé d’œuvrer dans le sens du renforcement des relations économiques et commerciales qui existent entre les deux Pays. En outre, il a exhorté Madame SCHAUTOVA à afficher sa disponibilité à l’égard de la communauté ivoirienne et à ne ménager aucun effort à encadrer celle-ci pour la préservation de la bonne image de la Côte d’Ivoire.

Pour sa part, Madame Dita SCHAUTOVA s’est réjouie de cette installation. Elle a demandé au Chargé d’Affaires a.i. de transmettre l’expression de son infinie reconnaissance au Gouvernement ivoirien. La Consule honoraire a rassuré le Représentant de l’Etat de Côte d’Ivoire sur sa détermination à impulser une nouvelle dynamique aux relations qui existent entre la République Tchèque et la Côte d’Ivoire.

En marge de cette cérémonie, le Chargé d’Affaires a.i. a rencontré Monsieur ZOURA bi Antoine, l’un des représentants de la Diaspora ivoirienne en République tchèque, à qui il a demandé d’accomplir les formalités auprès de l’Administration locale pour donner une existence légale à leur association. Car, pour lui, l’Ambassade ne saurait travailler avec des interlocuteurs non reconnus dans le pays d’accueil ».